segunda-feira, 30 de setembro de 2013

pensamento do dia...


no público...

as línguas e a formação dos cidadãos...!


no público...

agora temos 'haute cuisine' na educação?... as crianças 'gourmet'...!


no expresso revista...

ah... temos um ministro que é um 'achista'...!


no dn...

ora bem... educação especial procurada por professores sem experiência na área...!


no público...

divulgação...!


divulgação...!


contagem terminada... os números...!


desenho [diário gráfico]... por lisboa... de pedro leal...!



via urban sketchers portugal...

o boneco do dia...


no expresso revista...

afinal... há reflexos lá por fora... la crise et le vote : après les élections municipales au Portugal ...!

"Du soulèvement de la jeunesse de mars 2011 à la victoire surprise, à Porto, de l'indépendant Rui Moreira aux municipales de dimanche, le Portugal cherche en tâtonnant une nouvelle expression politique. Mais la « partitocratie », comme ailleurs, résiste.

Bien avant les « Indignés » de la Puerta del Sol à Madrid, la jeunesse urbaine et souvent diplômée du Portugal, première victime, comme partout en Europe, d’une crise économique et sociale sans équivalent depuis les années trente du siècle dernier, avait fait éclater le cadre traditionnel de la protestation avec le mouvement « Geraçao à rasca ». Sans trouver la voie d’un débouché politique. La victoire surprise dimanche 29 septembre à Porto, deuxième ville du pays, d’un candidat véritablement indépendant, contre les machines politiques des partis du « bloc central », le PSD (centre droit) au « pouvoir » et le PS (centre gauche) dans « l’opposition », écrit une page nouvelle d’une histoire paradoxale, celle de la résistance des structures politiques traditionnelles aux bouleversements systémiques révélés par la crise.

« Pouvoir » et « opposition » bien relatifs, ce qui justifie ces guillemets, puisque le gouvernement de coalition du PSD-CDS de Pedro Passos Coelho est essentiellement voué depuis sa naissance au printemps 2011 à la mise en œuvre du mémorandum signé par le gouvernement « socialiste » sortant de José Socrates avec les bailleurs de fonds internationaux du pays. La troïka UE-FMI-BCE était d’ailleurs de nouveau à Lisbonne pour ce week-end électoral, à la veille d’une nouvelle évaluation conditionnant le déboursement des dernières tranches du programme d’appui financier de 78 milliards d’euros qui prend fin en avril 2014.

 « Si les partis n’ont pas compris ce qui s’est passé ici aujourd’hui, alors c’est qu’ils n’ont rien compris », a lancé dans son allocution victorieuse Rui Moreira, un novice en politique venu de la société civile, qui a écrasé le favori des sondages, de l’establishment politique et des commentateurs lisboètes avertis, le « dinosaure » du PSD Luis Felipe Menezes, qui voulait traverser le Douro pour prolonger à Porto un règne ruineux à Vila Nova de Gaia. Tout aussi notable a été l’incapacité du candidat du PS à exploiter ce qui pouvait apparaître comme une simple division de la « droite », le maire sortant PSD Rui Rio ayant joué un rôle important dans la défaite de son ennemi (et néanmoins camarade de parti) Menezes.

Tout aussi intéressant est le fait que le triomphe de Rui Moreira, président de la plutôt poussiéreuse Association commerciale de Porto, ne soit pas celui de la démagogie et du populisme, au contraire de l’apanage du candidat « officiel » Menezes qui, après avoir placé Gaia au bord de la faillite (deuxième dette municipale du pays), avait fait exploser à Porto le plafond légal des dépenses électorales, promettant la lune aux quartiers déshérités et étant même accusé d’achat de votes, comme un Serge Dassault au petit pied. « Nous avons toujours dit que nous n’étions pas contre les partis mais que les partis ne se comportaient pas bien, et cette élection est un signal clair donné par Porto que l’on peut faire autrement et que les partis doivent être différents », a insisté Moreira. 

Discours qui, remarquablement, trouvait un écho dans les propos de l’autre triomphateur de la soirée, le maire de Lisbonne Antonio Costa, réélu pour un troisième (et dernier mandat), avec, pour la première fois, plus de 50 % des suffrages accordés par les électeurs à sa « majorité plurielle » autour du PS, aussi bien pour l’exécutif (camara) que l’assemblée municipale, le parlement des communes. Et arrivant en tête dans les 24 « freguesias » de la capitale. Il faut rappeler que pour ces élections municipales l’électeur portugais devait mettre trois bulletins dans l’urne, pour l’équipe dirigeante du « conseil » (municipalité), l’assemblée et les mairies de quartier, avec un mode de scrutin proportionnel.  Antonio Costa, qui avait refusé en 2012 de se lancer dans la course à la présidence du PS, laissant la place au très falot José Antonio Seguro, a invité les partis à « réfléchir », sur la base des résultats, « à leur ouverture à la société, aux mouvements, aux citoyens ».

Au-delà de la poussée, à Porto et ailleurs, des nombreuses listes indépendantes, qui dépassent les 6 % à l’échelon national (mais certaines ne sont que des dissidentes de partis établis), ces élections municipales auront vu un renouvellement sans précédent de la classe politique locale, la moitié des 308 conseils et des 3 091 mairies de quartier devant changer de tête. Renouvellement aidé par deux changements institutionnels : la loi prohibant plus de trois mandats locaux consécutifs et une réforme administrative réduisant d’un petit millier le nombre de « freguesias ». À Porto, Menezes était le plus emblématique de ces « dinosaures » qui tentaient de contourner la loi en se présentant dans une commune voisine, et dont une poignée a d’ailleurs réussi son coup, avec la complicité des ineffables juges du Tribunal constitutionnel. Dans la grande majorité des cas, les électeurs ont sagement désavoué les juges."

de philippe riès

balanço do dia... equívoco nominal...!


via jugular...

as últimas aquisições... sem nenhuma ordem em especial...!









nada que seja realmente novo [da crise persistente]... absentismo e abandono escolar já são a segunda maior ameaça a menores...!


no público...

coisas da competição... dizem eles... os vencedores e os vencidos [da vida ?... da política?... ou pessoalmente?]...!


no público...

das eleições... geografia dos resultados [será que a crise 'congelou'?... ou continua 'fresca'... seja a nível nacional (como é expectável)... ou a nível local...?]...!


no público...

um 'intermezzo'... ao bem do ego nacional...!


no metro...

a viagem [alucinante]... pelas capas da imprensa de hoje...!









um [prévio] balanço nacional...!


no dn 'online'...

o balanço do dia [de ontem]... o demolidor (?)...!


revisão da matéria [também já dada há muito]... horas médias de trabalho na europa...!


no público...

revisão da matéria [já há muito dada]... ganho médio mensal na função pública...!


no cm...

e continuamos a não ir além de mais do mesmo...!


no cm...

do sincronismo...!


no dn...


no jn...

por cascais [para as freguesias]... pelas 11:25...!


por cascais [para a assembleia]... pelas 11:20...!


por cascais [para a câmara]... pelas 11:10...!


pelas 11:05... resultados em lisboa...!


pelas 11:00 horas... resultados nacionais...!


ah... temos pena...!


no jn...

e esta não merece sequer comentário...!


no público...

dos cavaleiros [quantos não sei]... do apocalipse 'now'...!

no outro dia era a tempestade perfeita... aqui.

por hoje estamos assim...


no público...

com uns quantos desmentidos ternurentos...?



no cm 'online'...

ah... agora pode ser que haja escolas para pobres e ricos [como se já não as houvesse]...?


no dn...

no dn 'online'...