sábado, 11 de fevereiro de 2012

ensino superior e financiamentos... propinas e outras questões em debate... que terão de ser 'arregimentadas' [também] por cá...!

"Pourquoi ne pas mettre à contribution les étudiants, comme le font d'autres pays, en considérant non pas leur situation financière actuelle mais future ? Au premier abord, la Suède offre une situation de rêve, avec une scolarité gratuite et donc ouverte à tous, et de généreuses bourses publiques. Le "revers de la médaille", explique Eric Charbonnier, expert à la direction de l'éducation de l'OCDE, ce sont les revenus moins élevés. Dès que le diplômé a un emploi, il verse 50 % de ses revenus en impôts. Bref, il paie sa dette.

D'autres pays ont innové sur la question des droits d'inscription. L'Australie, qui les avait supprimés dans un but d'équité sociale en 1973, les a rétablis pour la même raison en 1989. "Cela peut même être un moyen de régulation de l'emploi : lorsqu'il y a pénurie de main-d'oeuvre dans certains secteurs, on baisse les droits des filières qui y mènent afin d'attirer des candidats", explique M. Charbonnier. Aux Etats-Unis et au Royaume-Uni, les frais d'inscription sont diversifiés en fonction du rendement du diplôme : "Ils sont plus élevés si les chances de trouver un emploi sont plus grandes.""

aqui.

e pode seguir a discussão por aqui...

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